[Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par zebulon »

peut-être que pour soulager la mécanique,il y a eu plusieurs remorqueurs? :think:
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par janpier.72 »

Toutes les hypothèses sont valables, surtout à cette période ,remplacement d'un membre d'équipage blessé, refonte d'un équipage, plus de char tout est possible .
Va savoir !
Le seul moyen de se délivrer d'une tentation , c'est d'y céder.
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par phil wirton »

Egon Kraaz a écrit : dim. 20 oct. 2024 13:09 mmmmmm :think: on remarque le même membre d'équipage au béret sur le 332 à droite (membre que l'on a vu précédemment sur l'engin remorqueur 302 lorsque les deux Jagd étaient à l'arret)
jagdpanther332.jpeg

Le port du béret est très très rare les troupes allemandes à cette époque ( C'est d'ailleurs à se demander si ce n'est pas un civil Fr "embrigadé". Il y en a eu), donc il parait peu probable qu'il y ai eu deux personnes avec un béret.

Sur la photo du dessus prise plus tard, je pencherais pour un autre remorqueur que le 302. Qu'est devenu le 302 d'ailleurs?
Analyse intéressante !! merci
phil
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par phil wirton »

zebulon a écrit : dim. 20 oct. 2024 09:37 l'historique de cette schwere panzer jager abteilung ne m'est paradoxalement pas très connue
il va falloir que je m’attèle à cette lacune rapidement
pour moi,c'est une hérésie que d'avoir engagé de tels engins dans un environnement aussi compartimenté que la Normandie
salut Zeb,, tu as ce bouquin mais qui traite de l'histoire globale de la 654 , dont un chapitre assez court sur la normandie , j'ai hésité à l'acheter , mais 65 balles pour 20 pages sur le normandie, çà fait cher !!
https://www.librairie-du-collectionneur ... eilung-654

Phil :slts:
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par zebulon »

oui,je l'ai vu passer celui-là
hésitait justement,mais effectivement,pour 20 pages sur les combats de Normandie,ce n'est pas la peine,merci pour l'info
il me semble que des articles dédiés étaient paru dans la presse spécialisée,mais je ne me souvient plus de quand et de qui :désolé:
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par derka »

Bonjour,

Je n'ai pas ces 2 livres, mais j'avais glané quelques infos en traduisant de-ci et de-là des textes sur le net au sujet des combats en Normandie de cette unité.
Ce n'est pas à prétention encyclopédique ni définitive, mais je vous en ferai profiter.
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par phil wirton »

salut les gars

petite mise dans l'ambiance avant de commencer .........
https://www.google.com/search?sca_esv=a ... j0hY4,st:0

Phil :slts:
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par Lostiznaos »

Le point fort des Churchill était finalement d'avoir de l'essence et des avions! :hehe: :hehe: :hehe:
A+
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On dira ce qu'on voudra, il faut admettre que l'histoire des blindés s'arrête à la fin des années 30...
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par phil wirton »

Lostiznaos a écrit : lun. 21 oct. 2024 19:34 Le point fort des Churchill était finalement d'avoir de l'essence et des avions! :hehe: :hehe: :hehe:
Pas que !!!!! une leçon de 14/18 , beaucoup de munitions !!! quant à ces brigades de char Churchill pour accompagner l'infanterie......çà reste anachronique, old school qui rassurait quand même l'infanterie !! Et puis tout de même le Royaume Uni a été le porte-avions géant de cette histoire..... et puis aussi une bonne artillerie, une très bonne marine et d'excellentes troupes d'élite , SAS, LRDG, Commando et Royal Marines Commando, Airborne enfin ce bon Churchill avec un charisme exceptionnel, un visionnaire ...... Never surrounded ......


phi :super:
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par derka »

Tombé sur ce petit film, daté du 10 août, pour les détails sur les tourelles :

https://film.iwmcollections.org.uk/r/485
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par derka »

La s. Panzerjäger Atbteilung 654 en Normandie

Le Jagdpanther était intégré dans des bataillons (Abteilungen) indépendants de chasseurs de chars lourds, ayant le statut de Heerestruppen (troupes d'armée).
C'est l'organisation théorique autorisée pour le schwere PanzerJäger Abteilung 654.
Il disposait d'une compagnie de commandement et de trois compagnies de Panzerjäger, soit 3 Jagdpanther befehlswagen (version de commandement) dans la compagnie de commandement (Stab Kp.) et 14 Jagdpanther dans chacune des compagnies de Panzerjäger.
Ce qui lui donnait un total de 45 Jagdpanthers.
Ils étaient répartis conformément aux tableaux de dotation établis le 1er mars 1944, à savoir le K.St.N. 1154a (fG) pour la compagnie de commandement et le K.St.N. 1149a (fG) pour les trois compagnies de Panzerjäger.
Le bataillon disposait également d'une unité d'état-major (K.St.N. 1106a (fG), d'une compagnie d'approvisionnement (K.St.N. 1163a (fG) et d'un peloton d'atelier (K.St.N. 1185b (fG).
Cependant, en raison de retards de production, il fallut plusieurs pour obtenir la livraison de tous les Jagdpanthers autorisés.

Commandé par l’Hauptmann Noak, le 654. schweres Panzerjäger-Abteilung est la première unité à engager des Jagdpanthers contre les Alliés.

Un lien sympa sur l'évolution de l'unité :

https://balsi.de/Weltkrieg/Einheiten/He ... zJgAbt.htm

L'engagement en Normandie
NB: Informations reprises du journal de marche (Krieigstagbuch) du bataillon

Début février 1944, le bataillon est embarqué en train et transféré à Rethel.
Le 31 mars 1944, il est subordonné à l'état-major du Ausbildungs-Regiments-Stab Streit.
Le 4 mai 1944, les 8 premiers chasseurs de chars "Jagdpanther" arrivent à Rethel et sont répartis entre les compagnies pour l'entraînement.
Le 9 mai, l'unité déménage dans le secteur de Rocquigny, la 1ère compagnie est stationnée à la Hardoye, la 2ème compagnie à Wadimont, la 3ème compagnie à Chaumont-Porcien, la compagnie d'état-major à Rubigny et le peloton-atelier à Fraillicourt.
Après le début de l'invasion alliée, le bataillon accélère pour reprendre 11"Jagdpanthers à Magdebourg-Gommern et les relocaliser en France.
Dans le même temps, il est à nouveau subordonnée à la 10e Panzer Brigade.
Le 14 juin, la 2e compagnie avec les 8 chasseurs de chars opérationnels est chargée sur la voie ferrée et se dirige vers le nord, dans la région de Caen.
A son arrivée, elle a été affectée à la Panzer-Lehr-Division.
Le 20 juin, le bataillon département reçoit 17 engins neufs, mais qui doivent être vérifiés par l'atelier.
Le 22 juin, la 1ère compagnie est transférée par chemin de fer à Mailly-le-Camp.
Le 23 juin, le peloton de transport de la 1re Compagnie est attaqué par des avions volant à basse altitude à environ 15 km à l'ouest de Sedan, l'unité a perdu plusieurs tracteurs et véhicules et tout le carburant transporté a été détruit.
Le l'embarquement du bataillon restant débute le 25 juin.
Cependant, les locomotives demandées n'étant pas arrivées, le transport doit être à nouveau déchargé afin de traverser la forêt près de Mainbressy, hors de vue des avions.
Le 5 juillet, le bataillon est rechargé à Rozoy-sur-Serre et se déplace également vers le nord.
Le 8 juillet, la 3e Compagnie arrive à Houdan, où elle est déchargée puis déplacée dans la zone à l'ouest de Cambrai.
Le 9 juillet, toute l'unité, moins la 2e compagnie, se trouve dans le secteur de la Vallée-des-Fosses.
Le 12 juillet, le bataillon entame sa marche vers Brieux, atteint le lendemain.
Le 16 juillet, il s'installe dans le secteur de Proussy et s'installe dans la nuit du 18 juillet dans le secteur d'Aunay-sur-Odon.
Le 18 juillet, la 2e compagnie est à nouveau directement subordonnée au bataillon.
Il comptait désormais à nouveau huit Jagdpanthers opérationnels, ainsi que 16 Jagdpanthers en réparation à court terme et 1 Jagdpanther en réparation à long terme.
Le poste de commandement est transféré ce jour-là à Banneville.
À l'aube, le lieutenant Zschenderlein s'installe dans un nouveau déploiement avec 6 Jagdpanthers au Château de Monts, à environ 1 km à l'ouest de Monts.
Le capitaine Lüders se tient avec 2 Jagdpanthers dans la forêt au point 142.
Il n'y a pas d'activité de combat les jours suivants, cependant, les zones de rassemblement sont sporadiquement sous le feu de l'artillerie ennemie.
Le 23 juillet 1944, à 5 heures du matin, le Kampfgruppe Lüders emménage dans un nouveau déploiement avec 6 Jagdpanthers dans le secteur du Grenadier-Regiment 986.
Le Kampfgruppe Zschenderlein emménage dans un nouveau déploiement avec 6 Jagdpanthers dans le secteur Grenadier-Regiment 987 à environ 200 - 300 m au nord de St. Louet.
Au 28 juillet, le département compte 20 Jagdpanther opérationnels, quatre en maintenance à court terme et un en maintenance à long terme.
Dans la nuit du 30 juillet 1944, les troupes britanniques attaquent dans le secteur des 6e et 7e compagnies du Grenadie-Regiment 986.
Le lieutenant Schnepf est dirigé dans la zone 123 avec 2 Jagdpanthers avec ordre de coopérer avec le I./Grenadier-Regiment 987.
Le lieutenant Heyn est amené avec 3 Jagdpanthers au poste de commandement de la 7/Grenadiers-Regiment 986 dans le secteur de la Brutte du Chêne.
Le bataillon est alors entièrement subordonné à la 276e division d'infanterie et soutient ses régiments de grenadiers pour repousser les attaques britanniques.
Le 31 juillet, le bataillon réussit à détruire 14 chars ennemis, mais doit finalement abandonner 2 jagdpanthers (a priori les "311" et "314") dans le secteur de Saint-Pierre-du-Fresne.
Dans les jours suivants, un groupement de combat est déployé auprès de la 276e Division d'infanterie (zone d'Epinay) et de la 326e Division d'infanterie (zone de Cahagnes et Craham).
Le 1er août 1944, le bataillon réussit à détruire 2 chars Sherman et un half-track, et à endommager 1 Sherman.
Il a perdu 3 de ses propres Jagdpanthers à cause du feu.
Le 2 août, le Kampfgruppe Heyn est retiré de la zone de la 276e division d'infanterie et transféré à la 326e division d'infanterie dans la région de Saint-Georges.
Ce jour-là, le bataillon a pu détruire 2 half-tracks et 2 camions.
L'un de ses Jagdpanthers est sabordé le 2 août 1944 après avoir été endommagé (voir plus loin le journal du peloton atelier, il s'agit du "213")
Le bataillon combat également devant Saint-Georges le 3 août, 2 Jagdpanthers sont détruits pour 6 chars ennemis.
Le 4 août au soir, Saint-Georges doit être abandonné.
Dans la matinée du 5 août, le bataillon se déplace vers la nouvelle zone de rassemblement dans la région de la Tourpinière, à environ 2 km au nord-ouest de Campandré, avec les 4 Jagdpanthers restants opérationnels.
Ce même jour, le bataillon détruit 1 char Cromwell, puis il est subordonné à la 276e Division d'infanterie et relocalisé dans le secteur du Tremblay.
Le 6 août, le bataillon est directement subordonné au LXXIV. Corps d'armée pour éliminer une incursion ennemie dans la région de Saint-Jean,ce qui est réalisé le matin du 6 août.
Puis l'après-midi de ce jour-là, le département est réaffecté à la 276e division d'infanterie.
Dans l'après-midi du 6 août, l'ennemi fait irruption dans la brèche entre les 326e et 276e divisions d'infanterie avec une poussée vers Crépigny.
Le bataillon est ensuite été déployé en collaboration avec la 5/Grenadier-Regiment 987 pour nettoyer l'infiltration.
Le groupe de combat parvient à reprendre les villes de Crépigny et du Quesneé et à mettre en place une ligne de sécurité.
Le 7 août, le bataillon combat avec les 3 Jagdpanthers encore opérationnels dans cette position de blocage au sud de la Varnière.
Le 8 août, le détachement est déployé au Plessis, ce jour-là, il réussit à détruire 5 chars ennemis.
Dans la nuit du 9 août, les 5 Jagdpanthers opérationnels sont déplacés vers la zone de rassemblement au nord de Cauville.
Ici, le bataillon parvient à détruire 5 chars ennemis à 800 m au sud-sud-est du Plessis, et le 10 août 2 chars ennemis et 1half-track au nord de Cauville.
Le 11 août, 6 Jagdpanthers et 2 chars de commandement sont à nouveau prêts à l'action.
Le bataillon est à nouveau transféré à la 276e division d'infanterie.
Le 12 août, des violents combats éclatent au sud de Saint-Pierre et près de la Villette.
Le bataillon à pu détruire 8 chars ennemis, mais un Panzer-Befehlswagen a été détruit et plusieurs Jagpanthers de chars ont été endommagés, de sorte qu'il ne reste que deux engins opérationnels.
Suite à une percée dans le courant du 12 août de le secteur de la 276ème Division d'Infanterie entre la Vilette et Saint-Pierre et à l'avancée de l'infanterie ennemie jusqu'aux hauteurs 249 et 262 à l'Est de la Vilette, la HKL a dû être dans la nuit du 13 août être repris.
Le déploiement des deux Jagdpanthers opérationnels restants a eu lieu dans le cadre du Grenadier -Regiment 990.
Les Jagdpanthers ont repris la tâche de sécuriser le passage de l'infanterie au Pont de Mousse au-dessus de l'Orne.
Dans la matinée du 13 août, les 3 Jagdpanthers, désormais prêts à l'emploi, furent transférés au Grenadier Regiment 989.
Dans l'après-midi, le bataillon est réaffectée à la 276e division d'infanterie.
Les Jagdpanthers opérationnels ont ensuite été déployés au nord-est du carrefour routier de la Vandie.
Le 14 août, les 2 Jagdpanthers sont gravement endommagés par des tirs d'artillerie, ce qui signifiait que le bataillon ne disposait plus de Jagdpanthers opérationnels.
Il y a un manque de pièces de rechange pour les Jagdpanthers légèrement endommagés.
Le bataillon est ensuite retiré du front le 15 août et déplacé vers l'est de Livarot.
Cependant, en raison de la percée ennemie vers Falaise, la nouvelle zone d'hébergement n'est plus sûre et le bataillon se déplace vers Jonquerets et, à partir du 18 août, traverse la Seine jusqu'au secteur de Gisors.

informations d'après les annexes du journal de marche du bataillon
Lorsqu'il commença à marcher de Rocquigny près de la frontière belge vers la Normandie, il comptait 25 Jagdpanthers.
Le 27 juillet, 3 Panthers de commandement et un Jagdpanther arrivèrent au bataillon.
Ils durent d'abord être vérifiés par les ateliers et le 29 juillet, ils étaient prêts à l'action.
La marche vers la Normandie eut des conséquences néfastes pour le bataillon.
Plusieurs attaques aériennes ont causé des pertes, mais aucun Jagdpanther n'a été détruit, cependant, de nombreux Jagdpanthers ont subi des pannes mécaniques.
Au cours de la marche (environ 300 km), les cas de dommages suivants ont été enregistrés : 18 transmissions finales (un problème bien connu), deux moteurs, 2 refroidisseurs d'huile, 3 ventilateurs de refroidissement, 1 barre de torsion, 4 roues de route, 1 arbre de transmission, 4 barbotins d'entraînement, 2 roues de tension et 109 maillons de chenille.
Le résultat fut que le 17 juillet, le bataillon avait 8 Jagdpanthers opérationnels, 16 en réparation courte et 1 en réparation longue.
Les efforts des services de réparation et de récupération ont porté l'état de préparation opérationnelle à 23 Jagdpanthers le 30 juillet, 2 en réparation longue et 1 en réparation longue.
Cela comprend un Jagdpanther supplémentaire qui est arrivé ce jour-là.
Jusqu'au 26 juillet, les dégâts suivants ont été causés par l'action ennemie : 1 boîte de vitesses, 4 radiateurs, 1 refroidisseur d'huile, 4 ventilateurs de refroidissement, 6 pignons d'entraînement, 2 réducteurs, 16 galets.
On ne sait pas exactement combien de véhicules ont été endommagés jusqu'à présent, car un seul véhicule peut avoir subi plus d'un type de dommage.
Par exemple, un coup sur un char peut endommager plus d'un galet.
Avant le 31 juillet, aucun Jagdpanther n'a été complètement perdu.
La 2e compagnie est arrivée en tête du reste du bataillon au front en Normandie et a signalé 6 Jagdpanthers opérationnels le 7 juillet, lorsqu'elle était rattachée à la division Panzer-Lehr.
Elle était cependant rattachée à la 276e Infanterie Division lorsque la Pz-Lehr a quitté son secteur.
Lors du déplacement du 8 juillet, quatre Jagdpanthers sont tombés en panne.
Deux autres sont tombés en panne le 9 juillet, mais quatre ont également été réparés.
Le 11 juillet, un Jagpanther a été percé dans le blindage latéral gauche et trois membres d'équipage ont été blessés, mais aucun autre dommage n'a été enregistré.
Un autre Jagpanther a également été touché (on ne sait pas de quelle direction), le chargeur a été tué et le commandant, le chauffeur et le mitrailleur ont été blessés.
L'équipage a quand même réussi à mettre le char en sécurité.
Au moins un Jagpanther a été réparé par la compagnie entre le 12 et le 17 juillet.
Étant donné l'augmentation du nombre de Jagpanthers opérationnels du 17 au 29 juillet, au moins 14 ont dû être réparés.
Au moins cinq ont été réparés par la 2e compagnie avant le 17 juillet.
Jusqu'à présent, nous avons des indications sur 19 réparations.
Cependant, d'autres Jagpanthers ont été endommagés entre le 18 et le 29 juillet, le 20 juillet, deux ont été endommagés par des tirs d'artillerie ennemis et classés comme réparation courte.
Deux jours plus tard, un périscope sur un Jagpanther a été détruit par des tirs d'artillerie ennemis.
Le 26 juillet, un Jagdpanther prit feu dans le compartiment moteur, sans que cela soit dû à une action ennemie.
Véhicule classé comme réparations courtes.
Quatre jours plus tard, un Jagdpanther fut endommagé par des tirs d'artillerie et classé comme réparations courtes.
Au moins cinq véhicules furent endommagés pendant cette période, alors que l'état de préparation opérationnelle s'améliorait grâce aux efforts des mécaniciens.
On peut en déduire qu'au moins 24 d'entre eux avaient été réparés avant le 31 juillet. Mais cela ne peut pas expliquer tous les véhicules endommagés.
Il est également clair que le type de dommages subis jusqu'à présent était de nature à devoir être réparé et on peut supposer sans risque que plus de 100 % de ses Jagdpanthers avaient été réparés et qu'aucun n'avait été perdu.

Fin juillet, la pression ennemie croissante repousse le bataillon et à partir de ce moment, les Jagdpanthers commencent à être complètement détruits.
La première fois, c'est le 31 juillet, lorsque les derniers coups du Jagdpanther du lieutenant Scheiber sont tirés.
Le véhicule ne peut être récupéré en raison des tirs d'artillerie ennemis et du manque de véhicules de remorquage, il est détruit par l'équipage le 2 août.
Le 31 juillet, 11 autres Jagdpanthers sont endommagés, mais tous sont des dommages de courte durée.
Le 1er août, le nombre de Jagdpanthers en réparation à long terme passe de 1 à 3 et ce nombre reste constant le 13 août.
Du 31 au 2 août, le nombre de chars en réparation à court terme diminue de 4, ce qui suggère qu'au moins beaucoup ont été réparés.
Le 5 août, le nombre en réparation à court terme est de 17, mais il diminue à 13 le 6 août, ce qui suggère à nouveau que 4 ont été réparés.
En effet, l'un des Kampfgruppen fut informé qu'il pouvait s'attendre à recevoir trois Jagdpanthers des ateliers dans la nuit ou le 6 août.
A partir du 7 août, le nombre de Jagdpanther en réparation immédiate augmenta.
Le 14 août, 17 Jagdpanther étaient en réparation immédiate, mais on constata qu'il fallait faire venir des pièces de rechange pour les réparer.
À ce moment-là, la situation d'approvisionnement allemande était en général désespérée, ce qui signifiait que l'arrivée de pièces de rechange était peu probable.
Le bataillon reçut l'ordre de se retirer et de ramener ses véhicules dans les ateliers.
Jusqu'à présent, sept chars avaient été irrémédiablement perdus (dont un confisqué par une unité SS et dont le sort était inconnu).
Durant tout le mois d'août, les pertes totales suivantes (chars de commandement compris) ont été enregistrées, par cause (y compris le Jagdpanther de Scheiber mentionné ci-dessus) :
Dommages mécaniques, char explosé par l'équipage : 12
Détruit par le feu antichar : 2
Coupé dans le terrain, ne pouvait pas bouger, puis touché par un char ennemi, brûlé : 1
Détruit par des obus HE ou au phosphore : 2
Endommagé par le feu ennemi et explosé par l'équipage car il n'a pas pu être récupéré : 2
Confisqué par une unité SS, sort inconnu : 1
Manque de carburant, explosé par l'équipage : 1
Tapis de bombardement à Rouen : 1
Depuis le début de l'engagement du bataillon, nous connaissons au moins 32 cas de réparations de chars du bataillon, ce qui peut être comparé à 7 cas de pertes totales.
Bien entendu, cela inclut les véhicules qui ont subi des dommages techniques pendant la marche d'approche, mais il faut également noter que tous les cas de dommages ne sont pas mentionnés par le journal de guerre.
En août, quelques cas ont été relevés :
4 août : nombre non précisé de Jagdpanthers endommagés par des tirs d'artillerie.
5 août : un Jagdpanther endommagé pendant la marche, réparation à court terme.
10 août : un Jagdpanther endommagé pendant la marche, réparation à court terme.
12 août : 1 canon endommagé par des tirs d'artillerie ennemis.
13 août : 1 cas de défaillance de la transmission finale.
14 août : 2 endommagés par des tirs d'artillerie.
Étant donné les données disponibles, les calculs exacts de pourcentages ne sont peut-être pas si significatifs, mais il est clair qu'avant que le bataillon ne commence à se retirer, les dommages subis étaient généralement d'une nature telle qu'il fallait s'attendre à ce qu'ils soient réparés.
Ce qui est également intéressant, c'est que les pertes dues à la présence d'unités de combat terrestre ennemies, ou dans certains cas à des tirs d'artillerie, ont poussé les Allemands à faire exploser de nombreux Jagdpanthers.
En fait, plus de la moitié des pertes se sont produites de cette manière, ce qui souligne l'importance du contrôle du terrain.
Peu de Jagdpanthers ont été pénétrés par des obus antichars et dans deux cas, les véhicules ont pu être réparés.
De plus, les effets des tirs d'artillerie ne doivent pas être négligés.
Bien qu'un obus HE ne détruise probablement pas un char lourd, il peut très bien (comme le montrent plusieurs exemples mentionnés dans le journal de guerre) endommager le char et si les unités terrestres sont suffisamment proches, le char ennemi ne sera pas récupéré.

Bilan
En août 1944, les pertes du bataillons sont les suivantes :
- 4 sous-officiers et 8 hommes de troupe morts,
- 7 officiers, 32 sous-officiers et 45 hommes blessés,
- 2 sous-officiers et 9 hommes de troupe portés disparus.
En ligne depuis la mi-juillet, les scores du bataillon restent d’abord modestes avec 6 chars anglais détruits entre le 17 et le 30 juillet. Les Jagdpanther réalisent une contre-attaque désastreuse pour les Britanniques le 31 juillet : 11 Churchill sont incendiés en quelques minutes mais deux Jagdpanthers sont abandonnés par leurs équipages (voir plus bas sur cet engagement particulier).
Les derniers Jagdpanthers furent expédiés le 14 août 1944, à l'exception des trois Jagdpanthers de commandement.
Ceux-ci étaient en effet remplacés par 3 Befehlspanther qui avaient été expédiés à l'unité le 6 juillet 1944.
Au 14 août, les pertes totales infligées aux forces blindées alliées se limitent à 42 chars, ce qui semble assez faible au regard du potentiel du Jagdpanther. 
Si 20 JagdpantherS sont encore présents dans les effectifs, seuls deux sont en mesure d’opérer sur le front, faute de pièces détachées.
Le 23 août, la majeure partie du détachement parvient à traverser la Seine à Caudebec.
Seule la majorité de la 1re compagnie fut détruite à l'ouest de la Seine faute d'options de traversée.
Le reste du bataillon est ensuite délocalisé dans la région de Compiègne puis repositionné plus au nord-est.
Le 29 août, les restes du détachement atteignent Carlepont et le 30 août la zone autour de Mons, puis le secteur de Spa atteint le 1er septembre.

L'engagement du 31 juillet du point de vue anglais :
The British ‘infantry’ tanks had a horrible time. The Argylls of 15th Scottish, less their anti-tank guns, but supported by the Churchill tanks of Scots Guards, took and held a height known as Quarry Hill (Mont Pincon, Southwest of Caen), when there were three shots and three Churchill tanks ‘brewed’. Then two enormous Jagdpanther tank-hunters, covered by a third, lumbered into the open, up the hill, through the British position, and down the other side, leaving in all eleven shattered Churchill tanks behind them. One of the Jagdpanther tank-hunters passed within a few feet of an artillery officer who had a close view of the German commander who was standing up, wearing only a vest, presumably because of the heat, and laughing. These enormous vehicles mounted a 88mm gun some 23 feet long on a Panther chassis.”
—From the history of the 3rd Armoured Battalion (Scots Guards), 6th Guards Tank Brigade
.
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scots guards 31 juillet.PNG
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par phil wirton »

derka a écrit : lun. 21 oct. 2024 21:50 Tombé sur ce petit film, daté du 10 août, pour les détails sur les tourelles :

https://film.iwmcollections.org.uk/r/485
Je l'ai vu hier aussi , intéressant avec les coffres de tourelles supplémentaires
phil :slts:
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par Lostiznaos »

phil wirton a écrit : lun. 21 oct. 2024 20:30 Pas que !!!!! une leçon de 14/18 , beaucoup de munitions !!! quant à ces brigades de char Churchill pour accompagner l'infanterie......çà reste anachronique, old school qui rassurait quand même l'infanterie !! Et puis tout de même le Royaume Uni a été le porte-avions géant de cette histoire..... et puis aussi une bonne artillerie, une très bonne marine et d'excellentes troupes d'élite , SAS, LRDG, Commando et Royal Marines Commando, Airborne enfin ce bon Churchill avec un charisme exceptionnel, un visionnaire ...... Never surrounded ......


phi :super:
Tout à fait d'accord!
Aucune mauvaise intention de ma part à l'encontre de la Perfide albion, d'ailleurs, crois-moi.
C'était surtout que ces articles ou docu sur le thème de la comparaison entre deux véhicules me laisse toujours perplexe... :hello: :hello: :hello:
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par zebulon »

Merci Christian pour cet historique de la 654 en Normandie
ça me conforte dans l'utilisation à contre-emplois de ce blindé aux capacités hors normes en terrain découvert mais certainement pas en terrain compartimenté,en encore moins à le faire transiter par route!!
Fayz ce que veult!
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par Lostiznaos »

C'est observable pour tous les panzer de deuxième génération en pratique : Tiger, Panther, Jagds divers...

Clairement des engins conçu pour la lutte antichar en espace ouvert... La plaine russe et les marées de T34 sont entrées dans les esprits...

Un peu la définition du contre-emploi des chars au final!
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par janpier.72 »

La mécanique fragile de ces bêtes n'étaient pas faites pour rouler sur de grandes distances et ils leurs fallaient un entretien très régulier.
En effet les chemins très étroits et les haies n'étaient pas fait pour des tirs à 800 ou 1000m.
Je suis passé fin Mai par là , il y a beaucoup d'endroits où l'on ne se croisent pas avec une voiture et encore moins avec un tracteur, j'en ai fait l'expérience.
Le seul moyen de se délivrer d'une tentation , c'est d'y céder.
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par derka »

janpier.72 a écrit : mar. 22 oct. 2024 15:17 La mécanique fragile de ces bêtes n'étaient pas faites pour rouler sur de grandes distances et ils leurs fallaient un entretien très régulier.
En effet les chemins très étroits et les haies n'étaient pas fait pour des tirs à 800 ou 1000m.
Je suis passé fin Mai par là , il y a beaucoup d'endroits où l'on ne se croisent pas avec une voiture et encore moins avec un tracteur, j'en ai fait l'expérience.
Imagines ;
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par derka »

Deux autres vues moins connues que mes deux Jagdpanthers photographiés sous la pluie à Brionne le 23 août par le Kriegsberichter Kurth de la Propaganda Kompanie 698.

Faut que je continue la recherche, car il y a plusieurs pistes sur le nom des Bordführer, Carsten semble acquis, mais l'autre faut voir pour confirmer de manière certaine.
Le n° de l'engin remorqué est toujours incertain, si quelqu'un avait des informations sur ce point, ce serait vraiment cool.
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par janpier.72 »

A l'unanimité d'un tout seul , je vais essayer d'amener avec ma petite cuillère un peu d'eau au moulin.
MP pour les détails :docu:
Le seul moyen de se délivrer d'une tentation , c'est d'y céder.
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par derka »

Merci, en téléchargeant puis en zoomant, c'est lisible. :good2:
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par Egon Kraaz »

@ Derka

Merci de ces informations sur l'unité !!! :super:

Par contre il doit y avoir une erreur de transcription sur ce passage :
"Le 8 juillet, la 3e Compagnie arrive à Houdan, où elle est déchargée puis déplacée dans la zone à l'ouest de Cambrai. "

Le "Cambrai" cité est à l'autre bout de la France, et malgré mes recherches, je ne trouve pas d'autres villes dans le secteur, même en modifiant l'orthographe. Mais c'est un point de détail :clin:

Edit: je viens de trouver, il s'agit de Gambais, un poil au Sud Est de Houdan, et la Vallée des Fosses se situe sur la commune de Bazainville.
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par janpier.72 »

Bien :slts:
Le seul moyen de se délivrer d'une tentation , c'est d'y céder.
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par Thierry90 »

Egon Kraaz a écrit : mer. 23 oct. 2024 12:35 Edit: je viens de trouver, il s'agit de Gambais, un poil au Sud Est de Houdan, et la Vallée des Fosses se situe sur la commune de Bazainville.
Gambais, où vivait un gars favorable à la femme au foyer :0
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par zebulon »

Thierry90 a écrit : jeu. 24 oct. 2024 17:39
Egon Kraaz a écrit : mer. 23 oct. 2024 12:35 Edit: je viens de trouver, il s'agit de Gambais, un poil au Sud Est de Houdan, et la Vallée des Fosses se situe sur la commune de Bazainville.
Gambais, où vivait un gars favorable à la femme au foyer :0
oui,il n’aimait pas les steaks trop cuits :hehe:
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par derka »

Bonjour,

J'en vois certains qui s'égarent là... :hehe:
j'ai bien sûr étudié avec attention et gourmandise le modèle réalisé avec une grande maîtrise par l'autre Philippe l'année dernière :

https://warpaints.net/viewtopic.php?t=20241

Alors revenons au sujet, j'ai enfin récupéré ce qui me manquait encore comme accessoires.
Pour la Kubel, ça reste une option pour le moment, pas définitif.
Le choix dans l'assortiment de figurines et leurs poses adaptées non plus, même si les hommes aux parapluies seront incontournables.
Pièces jointes
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par phil wirton »

Salut Chritian

Du beau matos !!! il ya de quoi faire et occuper tes soirées dans la Manche :hello: ; les figurines ICM PANZER CREW sembent très bien, en tout cas le box art de la boite est convaincant… Y a plus qu'à, je vais bientôt m'y mettre aussi.
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par derka »

Bonjour,

Les dernières pièces récupérées dans les réserves, les câbles notamment, je ne me souvenais plus que j'en avais accumulé autant en stock. :mrgreen:
Pièces jointes
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par phil wirton »

Te voilà fin prêt avec tout ce matos !!!!!

Bon montage

Phil :slts:
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par janpier.72 »

On stocke, on stocke et on fini par oublier ce que l'on a.
il m'ai déjà arrivé de commander des articles pensant ne pas avoir et de me retrouver avec des doublons :mrgreen:
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Re: [Défi 2025 - En cours] Phil wirton VS Derka ...- Remorquage d'un engin en panne, 1939/1945

Message par Lostiznaos »

derka a écrit : lun. 04 nov. 2024 00:20 je ne me souvenais plus que j'en avais accumulé autant en stock. :mrgreen:
Ah, j'aime ce genre de phrase! :hehe: :hehe: :hehe: :hehe:
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