Merci à tous!
Le WE n'a pas été totalement zéro question maquettes, même si je n'ai pas autant avancé que je l'espérais...
Pas de peinture en fait, mais j'avance quand même dans les accessoires, avec le montage de la grue de chargement des obus qui est une petite maquette dans la maquette.
Au départ on a un bogie Péchot classique comme je commence à en avoir monté pas mal, pa
pas de souci majeur, le point le plus délicat étant l'assemblage des chaînes d'attelage fournies dans la boite en maillons métalliques avec un crochet résine. Cela demande un petit exercice d'adaptation (j'avais détaillé le truc dans le post sur la grue), mais cela se monte plutôt bien...
Notez que le volant de frein est prévu ici mais laissé mobile car il n'apparaît sur aucune photo.
Les pièces principales s'assemblent bien à condition de faire attention à leur finesse, par contre le fonctionnement du mécanisme doit être bien réfléchi!
En effet l'ensemble est assez astucieux : comme il faut hisser des dragées de 400kg sans tout foutre par terre, le problème du centre de gravité du bordel a intéressé les ingéneurs! La grue comporte donc à l'arrière un contrepoids mobile qui par son propre poids glisse vers l'intérieur à vide et est tiré vers l'extérieur par le poids de l'obus en charge.
Ce système est plutôt bien représenté sur la maquette par contre il est complètement zappé dans les instructions comme d'ailleurs dans l'article de F Astier qui représente une configuration impossible avec une grue vide et un contrepoids en extension...
Explications en images...
Config à vide : le contrepoids a glissé en buté à l'intérieur du bâti, les chaînes sont détendues (plus que dans la réalité parce que es pièces en résine sont très légères) et le centre de gravité est bien au centre...
On charge le suppositoire à Günter, du coup, le contrepoids est immédiatement tiré vers l'arrière, équilibrant le poids de la dragée et maintenant le tout dans un équilibre quasi aristotélicien.
Simple et élégant.
Bon, cela n'est pas parfaitement rendu par la maquette car en pratique ce contrepoids (dont je sens qu'il commence à vous peser
) doit glisser SOUS l'axe d'enroulement de la chaîne. Cela impose de déplacer cette dernière aussi haut que possible sur le bâti, il faut donc boucher les trous prévus pour le recevoir et recoller plus haut.
Il faut également réduire la hauteur du contrepoids à roulette de 2,5 bon mm pour qu'il glisse avec toute l'harmonie souhaitable dans son logement douillet...
Au passage, j'ai remplacé la chaîne proposée par Blitz par un chaîne "l'Arsenal", plus fine mais surtout plus longue, la longueur fournie étant un poil courte pour un fonctionnement correct.
Voilà, le reste c'est du confort et des petits détails.
Côté confort : la résine n'ayant pas le poids de la bonne ferraille du Creusot, je l'ai joué avionneux de base en truffant le dessous du bogie de petits plombs de chasse, cela stabilise plutôt bien le bouzin.
Côté détails, j'ai ajouté deux entretoises sur les renforts de la grue, ce qui n'est pas totalement obligatoire car certaines photos montrent des grues dépourvues de ces renforts, par contre on trouve bien trois petits crochets à l'arrière et une poignée verticale (la mienne est un peu basse) sur le côté qui a la manivelle, probablement pour aider le gus chargé de manoeuvrer la mécanique à se hisser sur le bogie...
Bon ben voilà une bonne chose de faite...
Reste les chariots à obus et wagon porte munitions et je pourrai attaquer le mortier lui-même!
; je m'y remet demain vu que je dois finir aujourd’hui le grand diorama qui me prend tout mon temps depuis quelque mois . 
, alors qu'il me semble que on ne peignait pas au pistolet à cette époque ??? Pour les liserés, je n'en mettrait pas car je ne trouve pas de photo le montrant. 
pour les explications.
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. je l'ai su trop tard, c'est l'ami 2DB qui me l'as dit en me fournissant de très belle photos . encore merci Philippe 
; je m'en doutais, vous pouvez vous moquer 
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