A6M5 "zeke" Tamiya 1/32
Publié : lun. 12 nov. 2018 19:21
Bonjour
En parrallèle du Blackjack (qui risque de me gonfler cote ponçage), et grâce a un nouvel ami "Ernie Dyskal" je débute kit depuis trop longtemps en stock ; l'excellent "zeke" Tamiya au 1/32
L'avion :
Petit, agile, bien armé, le Zero semblait invulnérable, il s'avérait supérieur à tout ce que l'on pouvait lui opposer , exploit d'autant plus incroyable qu'il s'agissait d'un chasseur embarqué.
L'ingénieur en chef de Mitsubishi, J.Horikoshi, pensait qu'il était possible de concevoir un tel avion, mais qu'il fallait l'alléger au maximum. Il utilisa donc un alliage d'aluminium secret qui venait d'être mis au point par Sumitomo Metal Industries en 1936. Celui-ci était plus léger et plus résistant que les autres alliages, mais aussi plus sensible à la corrosion : il fallait donc une peinture anti-corrosion.
Horikoshi dut se résoudre à ne pas installer de blindage, ni même de réservoirs auto-obturants trop lourds.
Il fut désigné officiellement A6M, le A indiquant un chasseur embarqué, le 6 parce qu'il s'agit du 6e appareil de ce type, le M renvoyant au constructeur.
Le prototype effectua son vol inaugural le 1er avril 1939. Les tests furent courts mais concluants.
La première version de série, l'A6M2 Model 11, entra en service en juillet 1940. Comme il est entré en service en 1940, soit l'année 2600 pour les Japonais, l'A6M fut aussi désigné Type 0, Rei-sen en japonais. Le surnom "Zero" lui est resté.
Au moment du raid sur Pearl Harbor, 420 exemplaires étaient en service dans le Pacifique, ce qui représentait 60% des chasseurs de la Marine Impériale.
Le Zero gagna rapidement une réputation d'invincibilité : d'abord, son incroyable autonomie de 2600 km lui permettait de rejoindre des points éloignés, ce qui donnait l'impression aux Américains qu'il y avait plus de Zéros que dans la réalité. Cet avantage, ainsi qu'un plafond très élevé, en faisait par ailleurs une bonne plate-forme de reconnaissance. Sa maniabilité et sa puissance de feu étaient supérieures à tous les chasseurs alliés de 1941. On estime à au moins 1550 le nombre d'avions américains abattus par les Zeros. Saburō Sakai est l'as le plus connu sur Zero, avec 64 victoires.
Le Zero commença à être dominé dès 1942, lors de la bataille de Midway.
10939 exemplaires furent construits de 1940 à 1945.
Ses qualités et défauts sont bien connus : grande autonomie et maniabilité d'une part, manque de blindage d'autre part.
Le kit :
Le kit comprend des pièces en plastique moulées sur 8 grappes gris clair, une claire et une noire. Il y a une grappe en vinyle noir contenant deux pneus et les flexibles de frein. Les pièces multimédias supplémentaires comprennent les axes d’aileron et de volet métalliques, les écrous, les boulons et les vis, les charnières métalliques, les ressorts métalliques, les joints toriques et la graisse pour les pièces mobiles. Le kit comprend également des masques pour la peinture, un tournevis, des ceintures de sécurité imprimées et un harnais, et même un fin morceau de fil pour l'antenne radio! Enfin, il existe un support en plastique noir sur lequel le modèle fini peut être monté pour la présentation. Tamiya a pensé à tout.
En feuilletant le manuel d'instructions de 32 pages, on s'aperçoit que le kit comprend un train d'atterrissage mobile et un gouvernail, des volets de capot et de capot ouverts ou fermés, et deux figurines de pilote, l'une assise et l'autre debout. La notice presente 35 photos de détail en noir et blanc représentant trois vrais zéros, deux provenant de musées du Royaume-Uni et une du Japon.
Le cockpit est simplement "fantastique". La plupart des boîtes noires situées sur les côtés du fuselage sont moulées séparément, de même que la quasi-totalité des commandes, telles que le levier de blocage du crochet d'arrêt, le réglage du pas de l'hélice, la compensation d'ascenseur, le levier d'accélérateur et la valve de gonflage de secours à flotteur.
Le vrai bijou de ce kit est le moteur Sakai Type 21, il est composé de 49 pièces si vous incluez les volets de capot.
La feuille de decalques propose les marquages de trois aéronefs différents: (1) un du 210 e groupe de chasseurs basé à Meiji en 1944-1945; (2) les unes des 653 ème groupe de chasse sur la base au Prefecture Ohita en 1944; et (3) un du groupe de chasseurs Rabaul basé à New Britain Island en 1943-1944. Toutes les marques extérieures sur la feuille sont superbes (y compris le Hinomarus).
En un mot le "top" Tamiya !
Le montage :
Suivant scrupuleusement la notice apres 1 semaine j'en suis là :
avenir : fabrication du harnais et jus pour le cockpit...
a+
En parrallèle du Blackjack (qui risque de me gonfler cote ponçage), et grâce a un nouvel ami "Ernie Dyskal" je débute kit depuis trop longtemps en stock ; l'excellent "zeke" Tamiya au 1/32
L'avion :
Petit, agile, bien armé, le Zero semblait invulnérable, il s'avérait supérieur à tout ce que l'on pouvait lui opposer , exploit d'autant plus incroyable qu'il s'agissait d'un chasseur embarqué.
L'ingénieur en chef de Mitsubishi, J.Horikoshi, pensait qu'il était possible de concevoir un tel avion, mais qu'il fallait l'alléger au maximum. Il utilisa donc un alliage d'aluminium secret qui venait d'être mis au point par Sumitomo Metal Industries en 1936. Celui-ci était plus léger et plus résistant que les autres alliages, mais aussi plus sensible à la corrosion : il fallait donc une peinture anti-corrosion.
Horikoshi dut se résoudre à ne pas installer de blindage, ni même de réservoirs auto-obturants trop lourds.
Il fut désigné officiellement A6M, le A indiquant un chasseur embarqué, le 6 parce qu'il s'agit du 6e appareil de ce type, le M renvoyant au constructeur.
Le prototype effectua son vol inaugural le 1er avril 1939. Les tests furent courts mais concluants.
La première version de série, l'A6M2 Model 11, entra en service en juillet 1940. Comme il est entré en service en 1940, soit l'année 2600 pour les Japonais, l'A6M fut aussi désigné Type 0, Rei-sen en japonais. Le surnom "Zero" lui est resté.
Au moment du raid sur Pearl Harbor, 420 exemplaires étaient en service dans le Pacifique, ce qui représentait 60% des chasseurs de la Marine Impériale.
Le Zero gagna rapidement une réputation d'invincibilité : d'abord, son incroyable autonomie de 2600 km lui permettait de rejoindre des points éloignés, ce qui donnait l'impression aux Américains qu'il y avait plus de Zéros que dans la réalité. Cet avantage, ainsi qu'un plafond très élevé, en faisait par ailleurs une bonne plate-forme de reconnaissance. Sa maniabilité et sa puissance de feu étaient supérieures à tous les chasseurs alliés de 1941. On estime à au moins 1550 le nombre d'avions américains abattus par les Zeros. Saburō Sakai est l'as le plus connu sur Zero, avec 64 victoires.
Le Zero commença à être dominé dès 1942, lors de la bataille de Midway.
10939 exemplaires furent construits de 1940 à 1945.
Ses qualités et défauts sont bien connus : grande autonomie et maniabilité d'une part, manque de blindage d'autre part.
Le kit :
Le kit comprend des pièces en plastique moulées sur 8 grappes gris clair, une claire et une noire. Il y a une grappe en vinyle noir contenant deux pneus et les flexibles de frein. Les pièces multimédias supplémentaires comprennent les axes d’aileron et de volet métalliques, les écrous, les boulons et les vis, les charnières métalliques, les ressorts métalliques, les joints toriques et la graisse pour les pièces mobiles. Le kit comprend également des masques pour la peinture, un tournevis, des ceintures de sécurité imprimées et un harnais, et même un fin morceau de fil pour l'antenne radio! Enfin, il existe un support en plastique noir sur lequel le modèle fini peut être monté pour la présentation. Tamiya a pensé à tout.
En feuilletant le manuel d'instructions de 32 pages, on s'aperçoit que le kit comprend un train d'atterrissage mobile et un gouvernail, des volets de capot et de capot ouverts ou fermés, et deux figurines de pilote, l'une assise et l'autre debout. La notice presente 35 photos de détail en noir et blanc représentant trois vrais zéros, deux provenant de musées du Royaume-Uni et une du Japon.
Le cockpit est simplement "fantastique". La plupart des boîtes noires situées sur les côtés du fuselage sont moulées séparément, de même que la quasi-totalité des commandes, telles que le levier de blocage du crochet d'arrêt, le réglage du pas de l'hélice, la compensation d'ascenseur, le levier d'accélérateur et la valve de gonflage de secours à flotteur.
Le vrai bijou de ce kit est le moteur Sakai Type 21, il est composé de 49 pièces si vous incluez les volets de capot.
La feuille de decalques propose les marquages de trois aéronefs différents: (1) un du 210 e groupe de chasseurs basé à Meiji en 1944-1945; (2) les unes des 653 ème groupe de chasse sur la base au Prefecture Ohita en 1944; et (3) un du groupe de chasseurs Rabaul basé à New Britain Island en 1943-1944. Toutes les marques extérieures sur la feuille sont superbes (y compris le Hinomarus).
En un mot le "top" Tamiya !
Le montage :
Suivant scrupuleusement la notice apres 1 semaine j'en suis là :
avenir : fabrication du harnais et jus pour le cockpit...
a+